Policier intimiste hitchcockien d’inspiration Nouvelle Vague, « La dernière rose de l’été » revisite le récit d’ambiance avec une grâce épurée. Une esthétique léchée, des couleurs hypnotiques et un don singulier pour établir des atmosphères mystérieuses : pas de doute, c’est bien le nouvel Harari !
C’est l’été. Léo, jeune rêveur parisien caressant l’espoir de devenir écrivain, bosse dans un lavomatique en attendant de trouver l’inspiration pour son grand œuvre. Un soir, il croise par hasard un cousin qui lui propose de garder sa maison de vacances au bord de la mer. Coup de pouce du destin, le timide Léo se retrouve, quelques jours plus tard, voisin de riches plaisanciers aux voitures de collection et villas d’architecte.
Cependant, malgré l’atmosphère légère et surréaliste, quelque chose ne tourne pas rond. De jeunes hommes disparaissent aux alentours ; la tension monte… C’est dans ce cadre étrange, et tandis que l’inspecteur Beloeil mène l’enquête, que Léo rencontre sa jeune voisine, adolescente capricieuse et sauvage : la belle Rose.
Un thriller sensuel et tendu […] séduisant grâce à des cases belles comme des tableaux
Les Inrockuptibles
Un roman graphique hypnotique, lumineux comme un polar de l’âge d’or de la BD Franco Belge
Le Soir
Album aux couleurs magnifiques, La dernière rose de l’été est un polar prenant à l’atmosphère irréelle.
Journal de 13h, TF1
Un polar languide et moite qui rompt avec les clichés du genre.
Le HuffPost
Si L’Aimant nous avait donné à découvrir un pur talent de dessinateur, la ligne claire, subtilement rétro de Lucas Harari fait à nouveau sensation et déborde paradoxalement de modernité. (…) Il semblerait que Lucas Harari sache tout faire avec brio.
Page des libraires
Un deuxième album plus sensuel qui confirme avec éclat le talent de Lucas Harari.
Livres Hebdo
Lucas Harari confirme l’essai avec ce polar aux couleurs acidulées mené de main de maître.
France Inter
Un trait élégant et des aplats de couleurs qui évoquent autant les planches de Loustal que celles de Ric Hochet de Duchâteau et Tibet. Un auteur à suivre.
Télérama
Harari distille avec brio les clichés de la BD, du cinéma policier ou des vacances d’été.
Libération